Musique3 bonnes raisons de
Crédit photo : Pochette de Noonday Dream de Ben Howard
Pour la douceur de son folk-rock
On ne voudrait surtout pas que l’été passe trop vite, mais en considérant ce concert, on se surprend à imaginer les belles journées d’automne à venir. Il y a quelque chose de doux et de nostalgique dans le folk-rock de Ben Howard qui se prête merveilleusement à cette saison charnière. Ceux qui apprécient les univers distinctifs des artistes folk Bon Iver, James Vincent McMorrow, Ray Lamontagne ou encore Benjamin Francis Leftwish aimeront assurément sa proposition mélodieuse. On se voit très bien passer la journée devant un bon livre, à siroter un thé chaud en écoutant son dernier album, avant de se diriger vers le Théâtre du Centre Bell pour le show.
Alors que le monde semble de plus en plus dur à l’extérieur, c’est agréable de s’évader pendant quelques heures à travers ses mélodies chaleureuses et sa voix feutrée. Un petit break du quotidien, nous on dit oui!
Pour la beauté de ses textes
On parlait plus haut des mélodies et de la voix de Ben Howard, mais on ne pourrait oublier ses textes si marquants. La poésie d’Howard est tout simplement envoûtante. «Love is in the early mornings, in the shadows under the trees. Not in like the colded ashes, floating down from the rook array», clame-t-il dans l’une de ses nouvelles pièces «Towing The Line». La simplicité des mots et la puissance des images qu’il évoque rendent son oeuvre des plus uniques. On adore ces paysages qu’il est capable de créer dans ses chansons.
Le fameux refrain de «Old Pine» en est un parfait exemple: «We stood, steady as the stars in the woods. So happy-hearted. And the warmth rang true inside these bones as the old pine fell. We sang, just to bless the morning.» L’odeur du feu de camp est presque perceptible en écoutant la pièce. De doux souvenirs d’été, de camping et de grandes amitiés nous reviennent instantanément en mémoire en l’écoutant. L’un de ces morceaux qu’on se meurt d’entendre en live.
Parce qu’on attend son nouvel album depuis longtemps
Le temps file, n’est-ce pas! Sans qu’on s’en rende compte, ça fait déjà quatre ans que l’album I Forget Where We Were est paru sous l’étiquette Island Records. On se réjouit déjà de pouvoir écouter le petit dernier, Noonday Dream, dès juin. Les premiers extraits, «Nica Libres At Dusk», «Towing The Line» et «A Boat To an Island On the Wall», sont plus que prometteurs et laissent présager un autre succès pour Ben Howard.
Enregistré dans plusieurs studios un peu partout entre l’Angleterre et le sud de la France, ce nouvel album tend encore une fois vers la nature. Les titres des pièces, qui sont déjà dévoilées, laissent sous-entendre un vent d’introspection et comme un soupçon de voyage. On est impatients de pouvoir y jeter une oreille attentive. La bonne nouvelle, c’est que nous aurons quatre mois entre la sortie de l’album et la venue d’Howard au Centre Bell pour apprendre toutes les nouvelles chansons par coeur!
Ben Howard se produira dans plusieurs salles légendaires en Amérique du Nord cet automne, dont le Théâtre du Centre Bell. On serait prêts à parier que les billets vont s’envoler très rapidement. Vous pouvez vous les procurer en cliquant ici: www.evenko.ca/ben-howard. Les prix varient de 48,25 $ à 58,50 $ et on vous suggère de ne pas trop tarder avant de vous procurer les vôtres! On se voit là-bas?
* Cet article a été produit en collaboration avec evenko.