MusiqueLa petite anecdote de
Crédit photo : Holy Mountain
Te souviens-tu de la première fois que vous avez joué dans un festival d’envergure?
«C’était à Coachella en 2007. C’était notre premier vrai gros show, mais la plus grande foule devant laquelle on a joué c’était au Festival International de jazz à Montréal. Il devait y avoir genre 100 000 personnes au centre-ville.»
Vous êtes en tournée cet été après la parution de votre plus récent album, Head Over Heels. À quel(s) festival(s) êtes-vous le plus excités de jouer?
«On est excités pour tous les festivals, surtout qu’il y en a plusieurs qui ne survivent pas. So, ceux qui restent, comme Lollapalooza, Coachella et Electric Forest, c’est spécial. C’est des show qu’on aime faire.»
À quoi ça ressemble une journée dans un festival pour vous?
«On set-up toujours le matin même. Donc, je suis là à genre 9h. À partir du soundcheck, tu rencontres l’équipe locale, et c’est là que tu sais si ça va bien marcher. C’est stressant techniquement les festivals. Il y a beaucoup de groupes et pas beaucoup de temps pour faire les changements entre les deux.»
«Une fois que ça c’est fait, on attend pour notre show pis on espère que ça se passe bien. *Rires*».
J’imagine que le spot dans le line-up aussi change la donne. À quel moment est-ce que vous préférez jouer?
«On aime mieux jouer au milieu, genre pas trop tôt, pas trop tard. Entre 18h et 20h, c’est le sweet spot. Il commence à faire moins chaud, le monde est dedans, c’est vraiment le meilleur spot pour nous.»
Vous allez bientôt jouer à la maison. Qu’est-ce que vous réservez à la foule d’Osheaga?
«On va faire un genre de medley des greatest hits, mais avec beaucoup de nouvelles tounes aussi. C’est le fun maintenant parce que les gens embarquent vite. Avant, c’était plus lent, mais là c’est rapide, on sort une chanson et, après une semaine ou deux, les gens chantent les tounes pendant les shows.»