SortiesL'envers des corps

Balado «L’envers des corps»: Mathieu Leroux, artiste aux multiples talents

Une fenêtre de discussion sur son métier de dramaturge et son apport

Publié le 7 avril 2022 par Éric Dumais

Crédit photo : Marie-Noële Pilon

Bible urbaine est fier de s'associer au projet de balado L'envers des corps, animé par la danseuse professionnelle et chorégraphe Morgane Le Tiec, qui vise à permettre aux artistes de la danse de s’exprimer pleinement et de partager leurs réflexions sur leur métier. L’envers des corps est un balado créé pour vous inspirer, vous outiller et vous plonger au coeur de ce monde passionnant pour en découvrir tous les secrets. Cette semaine, on vous invite à découvrir Mathieu Leroux, un artiste aux multiples talents qui a d'abord enchaîné les chapeaux de comédien, auteur et metteur en scène avant de devenir, par la force des choses et les hasards de la vie, performeur en danse puis dramaturge.

C’est notamment grâce à une collaboration fructueuse avec la chorégraphe Hélène Simard que Mathieu Leroux a vu les offres s’enchaîner à son égard. En effet, des chorégraphes tels que Victor Quijada, Alexandra Spicey Landé ou encore Andrea Peña ont fait appel à lui et à son oeil aguerri pour qu’il travaille à leurs spectacles.

Ces dernières années, cet artiste touche-à-tout a entre autres collaboré avec le danseur et chorégraphe Sébastien Provencher dans une pièce intitulée Bones & Wires et dans laquelle il a performé et participé à la chorégraphie et à la conception.

Dans ce vingt-deuxième épisode, Morgane Le Tiec a demandé à Mathieu Leroux pourquoi il est essentiel d’avoir l’accompagnement d’un dramaturge lorsqu’on est un créateur.trice, et aussi qu’est-ce que cela apporte à une oeuvre. Puis, il livre aussi quelques outils et astuces pour l’élaboration d’un bon spectacle, tout en expliquant aux auditeurs ce qu’il faut faire pour qu’une pièce soit réussie. Mathieu nous parle également du spectacle Bones & Wires, une pièce de 55 minutes créée en 2020, qui ouvre une fenêtre de discussion sur la question de l’hyper-connectivité.

Enfin, il nous offre un regard éclairé sur des sujets actuels, dont le virtuel vs l’art vivant, de même que sur les modèles de diffusion et de production après la pandémie.