Les 10 lectures incontournables de 2016 – Bible urbaine

Littérature

Les 10 lectures incontournables de 2016

Les 10 lectures incontournables de 2016

Des suggestions variées pour les mordus de lecture

Publié le 20 décembre 2016 par Bible urbaine

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7. «Entre la jeunesse et la sagesse» de Jane et Anna McGarrigle (Flammarion)

Dans ce livre écrit par Jane et Anna, deux des sœurs McGarrigle (la troisième, Kate, étant décédée en 2010), ce n’est pas seulement leur histoire qu’elles nous apprennent, mais aussi celle de leurs origines, de leur enfance à Saint-Sauveur et de leur adolescence à Ville Mont-Royal, ainsi que celle du milieu musical montréalais des années 60 et 70. Entre la jeunesse et la sagesse, c’est un road trip familial et musical entre le Nouveau-Brunswick et la Californie, en passant par le Québec et New York et en faisant même un petit détour jusqu’à Londres où se côtoient les McGarrigle, les Wainwright, Bob Dylan et Emmylou Harris, entre autres.

Suggestion de Camille Masbourian.

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6. «Amun» sous la direction de Michel Jean (Stanké)

Les histoires de ce collectif d’auteurs autochtones, dirigé par Michel Jean, sont belles et tristes, souvent pleines de souffrance, mais il y a tellement de dignité dans la manière dont elles sont écrites. C’est aussi une prise de parole qui, sans être politique, survient à un moment charnière des revendications autochtones. On doit tendre l’oreille et quoi de mieux que la plume pour faire passer son message.

Suggestion d’Audrey Neveu.

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5. «Carnets noirs» de Stephen King (Albin Michel)

Je me confesse  Stephen King a toujours été mon écrivain favori et, encore aujourd’hui, à chaque nouvelle parution il y a un petit frisson de plaisir qui me parcourt le corps lorsque j’ouvre pour la première fois l’un de ses livres. Avec ce second volet de cette trilogie en devenir – avec le fort excellent Mr. Mercedes comme point de départ – King nous plonge dans une histoire complètement tirée par les cheveux (mais probable, cela dit) où le suspense est maîtrisé avec soin. Et ça, c’est grâce à la construction narrative mise de l’avant par King, puisqu’il alterne entre passé (l’assassinat de John Rothstein et le vol de ses précieux carnets) et présent (l’emprisonnement jusqu’à la libération du meurtrier Morris Randolph Bellamy, fan fini du défunt écrivain qu’il a froidement tué). J’arrête ici, car j’ai peur de trop en révéler, mais Stephen King prouve ici qu’à près de 70 ans, il a encore l’échine du conquérant.

Suggestion d’Éric Dumais.

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