Top 5 des polars les plus glauques pour obscurcir les journées printanières

5. «Le cercle des cœurs solitaires» de Lotte et Soren Hammer, 429 pages, 39,95 $ 

Tout commence par une terrible fusillade dans une école de Copenhague où périssent deux enseignants et où une classe entière est séquestrée. Le tireur fou, un jeune adolescent obèse de 16 ans, est abattu quelques minutes plus tard. L’inspecteur Konrad Simonsen, qui était en congé de maladie suite à un accident cardiovasculaire, doit reprendre du service alors qu’il n’est pas tout à fait au top de sa forme, nous l’aurons compris! De son côté, sa collègue Pauline Berg se remet tranquillement du kidnapping qu’elle a dû essuyer dans une affaire précédente, étant depuis sur les anxiolytiques pour calmer ses crises d’angoisse. Bref, ce n’est pas la pleine forme dans le service de police danois, mais Simonsen et son équipe vont devoir laisser leurs problèmes de côté pour s’occuper d’une autre affaire pour le moins banale: un postier est retrouvé mort au bas de ses escaliers. L’inspecteur va ouvrir l’enquête et se rendre compte que la chute était loin d’être accidentelle, mais qu’elle cachait en vérité toute une histoire non résolue datant des années 1960 à propos d’un collectif secret appelé Le cercle des cœurs solitaires. Il est seulement dommage que l’ouverture avec la fusillade soit affaire classée après seulement quelques pages, car on est loin de vivre le même niveau d’adrénaline les premières pages tournées.

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