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Déjà, à ma sortie du métro Jarry, j’ai eu l’intime conviction que je tomberais amoureuse de ce quartier et de ses habitants.
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Un coup à l'extérieur, je lève la tête et j’aperçois cette œuvre de Laborana, dont le style, ô combien reconnaissable, annonce les prémisses d’une visite qui s'annonce intéressante.
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Après quelques pas, je remarque cette jolie petite boutique. Un petit tour sur leur site web et je constate que cette épicerie offre des produits en vrac dans des pots en consigne ou des emballages 100% recyclables. Quelle belle idée.
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À quelques pas de là, vous pouvez vous reposer au parc Gérard-Lalonde, situé juste à côté de l’Église Saint-Vincent-Ferrier, une petite place publique remplie de bancs. Imaginez-vous l’été, avec ces fleurs tout autour qui doivent bien égayer cette rue.
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Après quelques pâtés de maison, je suis tombé sur cette fresque colorée. À y regarder de plus près, on a l’impression qu’elle nous souhaite la bienvenue dans le quartier.
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Au coin de la rue Casgrain, du côté sud de la rue Jarry, se trouve le Café Oui Mais Non. J’ai aimé l’ambiance bon enfant et un côté réconfortant qui nous fait vite sentir comme chez nous.
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Le sous-sol de ce café surprend le plus. Ce méli-mélo de vieux objets crée une ambiance rétro qui donne l’impression rassurante de se retrouver chez nos grands-parents.
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La ruelle St-Dominique-Casgrain nous présente son identité dès notre arrivée avec un mur entièrement peint. Cette rue tire son épingle du jeu grâce à ses couleurs bleu et jaune du mur d’entrée se prolongeant au sol et sur les poteaux en chemin.
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Cette petite maison, super jolie, donne l’impression qu’elle se fond dans le paysage. Quel ravissement pour les yeux!
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On sent bien tout le côté artistique de cette rue…
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Sur le coin sud-est, à l’intersection des rues Henri-Julien et Villeray, une murale artistique attire l’attention. On ne peut que penser aux singes de la sagesse: symbole d'origine asiatique constitué de trois singes dont chacun se couvre une partie différente du visage.
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À quelques pas de là se trouve la Boutique Articho, qui propose des créations artisanales et locales. Des petits plaisirs à offrir pour soi ou pour ceux qu’on aime.
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Ces représentantes ont eu l’amabilité de poser pour moi. Quel plaisir j'ai eu de discuter avec ces personnes tout à fait charmantes.
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Pour comprendre un quartier et en sentir toute l’ambiance, les ruelles constituent un bon moyen autant que les rues! Alors, bienvenue dans la face cachée de la rue.
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Dans cette ruelle, l’été, les enfants peuvent jouer et s’amuser en toute quiétude. Leur présence est marquée sur ce poteau, une initiative qui permet aux enfants de développer un sentiment d’appartenance au quartier.
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Au coin de la ruelle «La Belle Verte», une autre mural artistique de Mauro Bordet attire mon attention. Quel artiste remarquable!
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Une place publique s’ouvre au coin de la rue Lajeunesse. La chaussée arbore des couleurs bleu et turquoise captivantes, et on peut même s’y asseoir, se reposer et lire…
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Dans Villeray se cache une magnifique librairie québécoise, L’Écume des jours, prête à conseiller tous les amoureux des mots.
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Sur la rue De Castelnau se trouve l’Église Sainte-Cécile, qui la surplombe de par sa magnifique architecture.
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En marchant vers l’ouest sur De Castelnau, une autre belle murale se dresse une fois de plus fièrement, à l’entrée d’une ruelle: c’est une création du collectif En Masse, mettant en vedette une astronaute.
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Le soleil brille, les gens sont heureux…
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Merci à toi, Villeray, pour tous ces beaux moments.