Sorties
Crédit photo : www.facebook.com/themagneticzeros
1. Home
La chanson «Home», sortie en 2009, et interprétée en duo par Alex Ebert et Jade Castrions, est celle qui a propulsé le groupe dans les palmarès. Les joyeux sifflements sont vite devenus des vers d’oreille et se sont retrouvés dans plusieurs bandes sonores d’émissions américaines et de publicités, sans compter que les paroles romantiques «home is wherever I am with you» ont inspiré plusieurs tattoos… Le départ de Jade, en 2014, a fait grand bruit et a divisé les fans qui la considéraient comme l’âme du groupe avec Alex.
2. 40 Day Dream
Voici la première pièce du premier opus Up forme below, sorti en 2009. Edward Sharpe est en fait l’alter ego d’Ebert créé durant sa cure de désintoxication et qui est décrit par Alex comme «une figure messianique envoyée sur terre pour sauver les Hommes… mais qui serait encore capable d’être distrait par la gent féminine et de tomber amoureux».
3. Carries On
Autre chanson poignante du premier album, la vidéo est un bon exemple de la complicité du groupe dont le nombre de membres est quand même imposant sur scène. Jade et Alex s’étaient d’abord rencontrés et avaient commencé à composer ensemble pour ensuite s’associer à une dizaine de musiciens, dont la plupart étaient des amis de longue date.
4. Man on Fire
Here, le deuxième album de la formation, a vu le jour trois ans plus tard, soit en 2012, et a été aussi bien reçu que son précédent. La vidéo a été produite dans le quartier français à La Nouvelle-Orléans, endroit qui a inspiré le quatrième album d’Edward Sharpe & the Magnetic Zeros.
5. If I Were free
Pour ceux qui étaient à Osheaga l’an dernier, vous avez sûrement assisté au moment touchant où Alex a accueilli sur scène un homme en fauteuil roulant en wheelchairsurfing sur la chanson «If I Were Free».
Des moments parfaits comme ça, c’est l’apanage d’Edward Sharpe & the Magnetic Zeros, une formation reconnue pour son style spontané. D’ailleurs, le groupe monte sur scène sans avoir établi préalablement la liste de chansons qu’il interprétera pour «sentir» le pouls de la foule qu’il a devant lui.