Théâtre
Crédit photo : Jean-François Bérubé
Après avoir signé l’adaptation française de la comédie musicale Chicago, ainsi que Je m’voyais déjà, «un jukebox musical» s’inspirant des chansons de Charles Aznavour, Laurent Ruquier a notamment écrit Je préfère qu’on reste amis, sa première comédie romantique jouée au Théâtre Antoine-Simone-Berriau de Paris en 2014. Écrite pour son amie Michèle Bernier, qui tient l’un des deux rôles principaux, aux côtés de Frédéric Diefenthal, la pièce a été mise en scène par Marie-Pascale Osterrieth.
Charmée par l’originalité de la pièce, Denise Filiatrault a décidé de l’adapter et de la monter à Montréal, avec Geneviève Schmidt (Unité 9) et Patrick Hivon (Nouvelle adresse), deux comédiens qui n’avaient jamais joué ensemble avant, mais qui ont apparemment rapidement développé une grande complicité.
Je préfère qu’on reste amis raconte l’histoire de Claudine et de Marc-Olivier, les meilleurs amis du monde. Depuis des années, toutes les semaines, ils se retrouvent pour une soirée télé-pizza et se parlent de tout et de rien: ce qu’ils ont fait dans leur journée, leurs aventures amoureuses, etc. Sauf que depuis le premier jour, Claudine est follement amoureuse de Marc-Olivier, qui ne se doute de rien. Un soir, après quelques verres de champagne, Claudine en révèle un peu trop à son ami…
Leur amitié saura-t-elle survivre à tout cela?