La Danoise Agnes Obel à l’Olympia de Montréal le 11 novembre prochain

Après un premier album, Philarmonics, certifié disque d’or par la Fédération internationale de l’industrie phonographique, l’auteure-compositrice-interprète, originaire du Danemark, s’est vue remettre tour à tour les honneurs de meilleur album, de meilleure sortie pop, de meilleure nouvelle artiste, de meilleure interprète féminine et de meilleure auteure-compositrice aux Danish Music Awards, en plus de remporter le prix European Border Breakers Awards 2012.

Elle en remettait, en 2013, avec Aventine, un second opus plus mature, qui est devenu numéro un en Belgique et au Danemark, où il est également certifié or. Ce dernier effort laisse davantage de place au violoncelle, qui contribue à apporter une touche très mélodique aux morceaux, en plus du piano franc et joué d’habile façon, et à la voix d’une douceur infinie d’Obel.

L’artiste, qui s’inspire autant des Debussy et Ravel que des Joni Mitchell et Roy Orbison, propose une fusion intéressante d’univers pop, soul, folk et classique. Ses chansons nous plongent dans une intimité profonde avec son interprète, d’une grande mélancolie, mais terriblement envoûtante.

Pour vivre un spectacle inoubliable, en toute intimité avec Agnes Obel et son piano, c’est à l’Olympia qu’il faut se rendre le mardi 11 novembre prochain. Les billets sont en vente sur le réseau admission.