MusiqueLa petite anecdote de
Crédit photo : Rose Boulanger Labarre
«C’est peut-être [la chanson] qui fait le plus de liens directs avec les thèmes ou même les situations qui sont dans le roman, pis en même temps, dans la chanson, il y a des lignes qui sont dans mes préférées sur l’album.»
«Ça a jamais été dit, mais la première ligne [de “Ton Hôtel”], ça vient d’une toune de Luc De Larochellière. Je voulais dire un peu le contraire. J’étais révolté en l’écoutant. Franchement, “on est seulement ce que l’on peut”, ben voyons. Respect à Luc, mais j’ai été confronté par ça, et ça m’a starté pour cette chanson-là.»
«On est seulement ce que l’on peut. On est rarement ce que l’on croit» – «Si fragile» – Luc De Larochellière
«Et on dit qu’on est ce que l’on peut. Après coup on est ce que l’on veut» – «Ton Hôtel» – Hubert Lenoir
«Après, pour le bout avec Bardot pis Guerlain, ça vient de “B.B.” de Serge Gainsbourg. C’était peut-être la dernière ligne qu’il me restait à écrire. Je trouvais qu’il y avait une connotation sexuelle intéressante, mais je me souviens plus c’était quoi *rires*.»
«Ton Guerlain sur mon Brigitte Bardot. C’est un rôle qui te colle à la peau» – «Ton Hôtel» – Hubert Lenoir
«Elle ne porte rien d’autre qu’un peu d’essence de Guerlain dans les cheveux» – «Initials B.B.» – Serge Gainsbourg
«J’ai une espèce de relation, et je pense que c’est la même chose pour Noémie, romantique avec les hôtels. Je trouve ça poétique pis beau. C’est un endroit éphémère où tu dors, ça devient ta maison pour un soir.»
«Quand t’es dans les hôtels, tu vis rapidement. La tournée, c’est intense, et moi je suis quand même attiré par un genre de mode de vie excessif, mais de retourner à l’hôtel avec un lit confortable, c’est vraiment beau.»