La femme-objet n'est plus dans le clip «Miniskirt» de Braids – Bible urbaine

MusiqueVidéoclips

«It’s my mini skirt / Think you can have it / My little mini skirt / It’s mine all mine». Voilà une chanson que la chanteuse Raphaelle Standell-Preston avait l’envie d’écrire depuis un moment, surtout après avoir écouté Joni Mitchell!, et dont la source vient littéralement des tripes. Dans cette succession d’images léchées où la femme apparaît visiblement libérée, assumée, révoltée, avec ces insertions de plans larges sur des champs de fleurs roses et rouges qui symbolisent, on se l’imagine, un renouveau, un nouvel état, le vidéoclip de l’extrait «Miniskirt» du réalisateur Kevan Funk dégage, malgré quelques scènes étranges, voire idylliques, une belle intensité lumineuse, et ce, même avec le caractère langoureux des textures électroniques, qui nous transportent littéralement vers un autre ailleurs.

Découvrez l’univers singulier du groupe Braids ce soir au Métropolis en première partie de Purity Ring.

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