«La paix des femmes» de Véronique Côté à voir en captation du 15 février au 15 mai 2022Théâtre
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«La paix des femmes» de Véronique Côté à voir en captation du 15 février au 15 mai 2022
Du 15 février au 15 mai 2022
— 20 $Le Théâtre La Bordée de Québec offre un accès privilégié aux mordus de théâtre en leur offrant la chance d’assister à «La paix des femmes», d’après un texte original de la dramaturge Véronique Côté, qui signe également la mise en scène. La pièce sera présentée en captation du 15 février au 15 mai 2022 partout dans le monde. Préparez-vous à assister à un drame sensible et féministe… en direct de votre salon!
Cet hiver, réchauffez-vous le coeur avec la toute dernière production de Véronique Côté (Je me soulève, L’art de la chute) qui rassemblera sur scène Jean-Philippe Côté, Catherine Oksana-Desjardins, Carolanne Foucher, Nicolas Létourneau, Anne-Marie Olivier, Claudiane Ruelland et Nathalie Séguin.
Armée de cette brochette de comédien.ne.s, la metteure en scène livrera une pièce qui aborde les rapports de domination omniprésents autant dans l’industrie du sexe que dans les dédales du couple et de la maternité. Un drame à ne pas manquer et qui donnera matière à réflexion!
L’histoire en quelques mots
2021. Québec. Dans son bureau à l’université, Isabelle confronte une ancienne étudiante venue lui demander des comptes sur certaines de ses idées. Ce face-à-face ébranlera les deux femmes qui s’affrontent, mais surtout, deviendra le point névralgique d’un moment de crise que tout l’entourage d’Isabelle traverse, chacun par le spectre de sa propre histoire.
Autour des questions ultra-sensibles de la prostitution, des rapports de force et d’exploitation qui imprègnent les relations hommes-femmes et l’ensemble de notre société, La paix des femmes cherche à faire vaciller les idées reçues et les lieux communs qui nous empêchent de plonger collectivement dans une réflexion douloureuse, inconfortable, brûlante, mais nécessaire.
Un extrait du spectacle
«Je pensais que je pouvais m’en aller
pis tout d’un coup
j’ai su que je pourrais plus…»