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Sorti plus tôt cette année: le court-métrage Pollux
La réalisatrice française, qui porte également à l’occasion les chapeaux de scénariste, productrice, directrice de production et costumière, a ajouté, en 2018, un nouvel élément à sa filmographie: le court-métrage Pollux. Celui-ci fait suite aux précédents Marseille la nuit (2012) et Les Ombres bossues (2008).
Ce court-métrage de vingt-trois minutes met en scène deux enfants qui devront subvenir aux besoins financiers de leurs parents suite à la fermeture de l’usine où ils travaillent. Vivian et Max, 13 ans, se lancent ainsi dans une course contre la montre…
Une entrée remarquée dans le cinéma français avec Joueurs
Marie Monge, avec Joueurs, fait une entrée fracassante dans le cinéma français, avec un travail de longue haleine où la quête d’argent reste au centre des préoccupations de ses protagonistes. Au passage, elle offre un clin d’oeil à David Lynch et Jean-Luc Godard, et exploite les codes filmiques et narratifs du film noir avec finesse.
L’histoire? Alors qu’elle travaille à la brasserie familiale, Ella se laisse séduire par Abel, un nouveau serveur. Ce dernier complète à peine sa première journée de boulot que, déjà, il pige sans gêne aucune dans la caisse et prend la fuite. Ella, sur un coup de tête, se lance à ses trousses et découvrira, un peu malgré elle, l’univers des cercles de jeux parisiens et des quartiers mal famés qu’Abel fréquente.
Sa rencontre avec son amant sera pour elle le début d’un chapitre nouveau et toxique où elle découvrira le caractère impulsif et imprévisible d’Abel, en plus de sombrer dans un cycle infernal de dépendances, amoureuse et au jeu, qui auront des conséquences majeures et dramatiques sur ses rapports avec ses proches.
Le film met en vedette Tahar Rahim et Stacy Martin.
Bon cinéma!
«Joueurs» de Marie Monge en images
Par www.allocine.fr