Comment la COVID-19 modifie la façon dont les gens se divertissent – Bible urbaine

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Comment la COVID-19 modifie la façon dont les gens se divertissent

Comment la COVID-19 modifie la façon dont les gens se divertissent

Un virus qui a profondément changé les habitudes de vie

Publié le 22 octobre 2020 par Bible urbaine

Crédit photo : Tous droits réservés @ Pexels

S’il y a une chose qui a marqué les esprits en 2020 et qui continue de le faire d’ailleurs, c’est bien sûr la crise du coronavirus. Ce virus a profondément changé les habitudes de vie, en l’occurrence, la façon de travailler, de communiquer et de se divertir. Le télétravail a connu un boom sans précédent, notamment grâce à des outils performants comme l’application Zoom. Pour se divertir, de nombreuses personnes se tournent vers le web, la limitation des contacts humains étant l'un des moyens de lutte contre la pandémie.

Se divertir durant la crise sanitaire: comment les Canadiens s’en sortent-ils?

Le gouvernement fédéral indique que le pays gère plutôt bien la crise et ce constat est visible à travers le nombre de cas. Pour parvenir à ces résultats, des conditions parfois drastiques ont été imposées aux Canadiens, comme la fermeture des bars, des restaurants et d’autres centres de loisirs susceptibles d’accueillir un grand nombre de personnes.

Bien évidemment, le streaming de films et de séries, les jeux de société en famille, ou encore la lecture seront désormais prisés par la plupart des gens. Quelques évènements culturels ont été transformés en format numérique, tandis que d’autres ont été malheureusement annulés.

Dans tous les cas, au-delà de la tragédie, la COVID-19 offre de nouvelles perspectives de divertissement qui nous changent de nos habitudes classiques. Pour avancer, il nous faudra accepter que ceci fasse maintenant partie de notre quotidien.

Mieux appréhender cette crise en apprenant à vivre avec

Le choc émotionnel qu’a entraîné cette crise est bien pire que celui provoqué par certains classiques de films d’horreur de Netflix. Non seulement on a découvert une maladie létale, mais aussi un virus ayant un fort potentiel de contamination, qui oblige la limitation du contact humain. Et c’est justement cette distanciation sociale qui est l’une des plus grandes épreuves de l’époque actuelle. Derrière le confinement se cachent des centaines de commerces fermés, une industrie touristique plombée, et ce, dans un pays très prisé par les voyageurs.

Que ce soit à Montréal, au Québec ou dans d’autres provinces, le Canada est le pays des festivals et des rassemblements par excellence. Notre accueil chaleureux est l’une des motivations des touristes, outre les monuments et sites pittoresques du pays.

Le défi aujourd’hui est d’accepter de vivre d’une nouvelle façon, avec le virus, sans pour autant se laisser ébranler. Beaucoup de Canadiens le comprendront progressivement, surtout au regard des nouvelles méthodes de travail, de communication, et surtout, de divertissement.

En attendant la fin de la COVID-19, les Canadiens décident de vivre

Selon plusieurs experts, il faudra attendre 2023 pour espérer la pleine reprise des activités économiques si la maladie continue d’être aussi bien maîtrisée, et surtout, si les solutions médicales sont au rendez-vous. Que cela arrive cette année ou non, les Canadiens n’arrêteront pas de vivre pour autant. Les masques sont devenus les accessoires privilégiés, mais cela ne suffit pas partout. En France, un couvre-feu a été établi pour quelques semaines, le temps d’observer l’évolution des cas.

Les Canadiens restent libres, mais les autorités comptent surtout sur la responsabilité de chaque résident afin de stopper l’évolution de la maladie. Et cela passe par des solutions de rechange raisonnables et pertinentes pour nos habitudes de vie, y compris le divertissement. Peu importe ce que vous aimez, il y a forcément une façon de vous divertir en restant chez vous et en vous connectant sur Internet.

Pour le moment, le Canada se porte mieux que certains pays, mais cela ne continuera que si tout le monde collabore, l’État et les résidents y compris.

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